MÉTIERS D’ANTAN à travers la carte postale ancienne

256 pages 
Format 25 x 33 cm
600 cartes postales anciennes
Hervé Chopin
HC 

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La première édition de Métiers d’antan, publiée en 2006, s’est vendue à près de 15.000 exemplaires.

Outre les nouveaux métiers “répertoriés” et une centaine de nouvelles cartes postales reproduites, cette édition 2010 s’enrichit de textes plus complets. Elle profite également de la nouvelle maquette de la collection ; impression des cartes en bichromie, mise en pages plus aérée, polices de caractères plus actuelles, gardes de couleur, papier au toucher plus “soyeux” et une couverture reproduisant une image en pleine page...

Mais cette nouvelle édition s’appuie sur ce qui a fait le succès de la première ; L’IMAGE.

On y découvre des hommes et des femmes pris sur le vif, peinant à leur tâche et fiers d’être immortalisés ainsi. Les visages sont graves, marqués par la vie et par l’effort de chaque instant. Le droit à l’image n’existe pas, les cartes postales sont encore animées et vivantes, généreuses même, loin des rues désertes ou des paysages déshumanisés de nos cartes d’aujourd’hui.

Durant l’âge d’or de la carte postale, entre 1895 et 1920, les clichés pris sur les routes de France par les premiers photographes, de ville en ville, de village en village sont comme des miroirs de la société, reflets sans faux-semblants de la vie au début du XXe siècle.

Et puis il y a la saveur mélancolique de ces métiers aujourd’hui disparus ou en passe de le devenir. On redécouvre des activités : le rémouleur, le barbier, le sabotier, le chiffonnier, le haleur, le langueyeur. On redécouvre des gestes : celui du maréchal-ferrant ou du charron, celui du schlitteur, du scieur de long, de la fileuse ou de la lavandière. 

À l’heure où l’on accorde souvent plus d’importance aux savoirs qu’aux savoir-faire, Métiers d’antan est un hommage chaleureux aux artisans d’hier et à ceux d’aujourd’hui qui tentent de perpétuer ces gestes et ces traditions.

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