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La campagne de Russie 1812
Très bel ouvrage de plus de 2,5 kilos
304 pages, sous boitier cartonné
Format 24 x 33 cm
Editions Quatuor 2011
Ouvrage édité à 430 exemplaires numérotés
Reliure pleine soie d'Orient
1 seul exemplaire disponible dans cette configuration
Pas sous blister d'origine
Vendu avec remise de 20 %
Très légers accrocs sur le boitier extérieur
Livre état proche du neuf
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Paiements sécurisés
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48 à 72 heures
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14 jours
Résumé du livre : La campagne de Russie 1812
Sommaire :
1 - Vers une guerre fatale
2 - L'offensive de la Grande Armée vers Smolensk
3 - La bataille de Smolensk
4 - Borodino ou la Moskova ?
5 - L'incendie de Moscou
6 - Le peuple russe et l'invasion
7 - Taroutino et la départ de Napoléon de Moscou
8 - La retraite de la Grande Armée
9 - Le passage de la Bérézina et la déroute de la Grande Armée
La campagne de 1812 est à la fois une des plus glorieuses campagnes napoléoniennes et une des plus tragiques. Commencée en juin 1812, par le franchissement du Niemen, et forte de plus de quatre cent mille hommes, français, polonais, italiens, troupes de la Confédération du Rhin, prussiens, lithuaniens, cette campagne de Russie vole de victoire en victoire jusqu’à la sanglante bataille de la Moskowa en septembre, puis l’entrée dans Moscou. Des chefs prestigieux conduits par l’Empereur s’illustrent une nouvelle fois : Ney, Davout, Gouvion Saint Cyr, Oudinot…
Mais la prise de Moscou est un piège, et le maréchal Koutousov qui a pris la tête de l’armée russe, peu avant la Moskowa, est un fin stratège qui, reculant sans cesse vers l’est, va laisser cette armée s’enfoncer seule dans l’hiver. Et l’hiver russe, le grand hiver russe, aura raison de cette formidable armée.
Epuisés, affamés par le brûlement des récoltes et l’incessante guerre des partisans, les soldats vont tomber victimes du froid et de la neige autant que de la guerre. Les combats de Krasnoïe et Malojaroslawetz, entre autres, diminueront encore plus cette armée en retraite. La belle manoeuvre du franchissement de la Bérézina sauvera ce qu’il reste, soit pas plus de soixante dix mille hommes, qui en décembre, retraversent le Niemen …